Ma pratique artistique interroge le seuil entre l’espace domestique et le territoire géographique considéré comme espace actif, traversé par des tensions politiques, affectives et sociales.
À partir de formes photographiques, filmiques et textuelles, je mets en relation le dedans (refuge, intimité, mémoire) avec le dehors (altérité, conflictualité, pouvoir).
Ce va-et-vient entre intérieur et extérieur devient un outil d’analyse par lequelle j'explore les notions de contrôle, de vulnérabilité et de liberté.
Je m’intéresse à la manière dont les espaces nous traversent et nous transforment ; comment le dehors s’infiltre dans l’intime, comment nos vulnérabilités s’écrivent dans la matière du paysage.
Ce va-et-vient entre intérieur et extérieur devient un outil d’analyse par lequelle j'explore les notions de contrôle, de vulnérabilité et de liberté.
Je m’intéresse à la manière dont les espaces nous traversent et nous transforment ; comment le dehors s’infiltre dans l’intime, comment nos vulnérabilités s’écrivent dans la matière du paysage.
Il s'agit alors de révéler les strates affectives, les plis invisibles du territoire : une cartographie sensible où s'entremêlent souvenirs enfouis, gestes oubliés et tensions sociales.
En plaçant l’expérience au cœur du regard, mon travail notre manière d’habiter le monde.
Comment les corps, les identités, les histoires singulières se forment-ils dans cette friction entre espace vécu et espace subi ? Quels récits surgissent lorsque l’on donne droit de cité à l’intime, au silence, à ce qui échappe aux grands discours ?
En plaçant l’expérience au cœur du regard, mon travail notre manière d’habiter le monde.
Comment les corps, les identités, les histoires singulières se forment-ils dans cette friction entre espace vécu et espace subi ? Quels récits surgissent lorsque l’on donne droit de cité à l’intime, au silence, à ce qui échappe aux grands discours ?
C’est dans cette attention portée aux formes discrètes (gestes, fragments, lieux ordinaires) que se tissent les lignes de force de mon travail.
J'esquisse une poétique du quotidien où l’image devient trace, mémoire, et parfois résistance.
J'esquisse une poétique du quotidien où l’image devient trace, mémoire, et parfois résistance.
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My artistic practice examines the threshold between the domestic sphere and the geographic territory considered as an active space, crossed by political, affective, and social tensions.
Through photographic, filmic, and textual forms, I connect the inside (refuge, intimacy, memory) with the outside (alterity, conflict, power).
This back-and-forth between interior and exterior becomes an analytical tool through which I explore control, vulnerability, and freedom.
I focus on the way spaces pass through us and transform us. The outside infiltrates the intimate. Our vulnerabilities inscribe themselves into the materiality of landscape.
My work seeks to reveal affective strata and invisible folds of territory. It constructs a sensitive cartography where buried memories, forgotten gestures, and social tensions intertwine.
I place lived experience at the core of the gaze to question our ways of inhabiting the world.
How do bodies, identities, and singular histories take shape within the friction between lived space and imposed space. What narratives emerge when intimacy, silence, and what escapes dominant discourse are given a place.
An attention to discreet forms (gestures, fragments, ordinary places) guides the lines of force in my work.
I sketch a poetics of the everyday where the image becomes trace, memory, and at times resistance.
Through photographic, filmic, and textual forms, I connect the inside (refuge, intimacy, memory) with the outside (alterity, conflict, power).
This back-and-forth between interior and exterior becomes an analytical tool through which I explore control, vulnerability, and freedom.
I focus on the way spaces pass through us and transform us. The outside infiltrates the intimate. Our vulnerabilities inscribe themselves into the materiality of landscape.
My work seeks to reveal affective strata and invisible folds of territory. It constructs a sensitive cartography where buried memories, forgotten gestures, and social tensions intertwine.
I place lived experience at the core of the gaze to question our ways of inhabiting the world.
How do bodies, identities, and singular histories take shape within the friction between lived space and imposed space. What narratives emerge when intimacy, silence, and what escapes dominant discourse are given a place.
An attention to discreet forms (gestures, fragments, ordinary places) guides the lines of force in my work.
I sketch a poetics of the everyday where the image becomes trace, memory, and at times resistance.